Bibliographie

L'histoire a commencé par un défi lorsque j'étais photographe. Pendant mes études à l'Ecole Nationale de Photo et de Cinéma de la rue de Vaugirard à Paris, j'ai obtenu la bourse de la Fondation de la Vocation pour la photographie en 1966.

Puis ce fut l'enseignement de la prise de vue dans une école privée avant de me spécialiser dans la photo de mer. Après avoir œuvré pour la revue "Bateaux" pendant une vingtaine d'années, j'ai monté un studio de prise de vue équipé d'un laboratoire de développement sur Nantes, puis nous avons fondé notre entreprise de photo industrielle et publicitaire à La Baule, en Loire Atlantique.

Un ami magnétiseur m'a proposé un jour de photographier l'énergie qui émanait de ses mains. Quatre années de recherches et quatre mille photos d'essais plus tard, nous pouvions voir que cette énergie rayonnante avait la forme d'une boule de lumière blanche.

L'entreprise aurait pu tirer profit du procédé baptisé "Epi", mais montrer l'aura des gens finit par poser des problèmes de discrétion. J'allais abandonner quand on me proposa de capter celle des menhirs. Dubitatif, j'essayais quand même et ce fut un succès.

Nous pûmes ainsi VOIR que les pierres levées sont en échanges permanents entre le Ciel et la Terre. Cela n'avait jamais été jamais montré et constitue une grande première !

Restait à connaître ces énergies. Je me rapprochais pour cela de Roger Le Lann, un professeur de physique de Brest versé dans la géobiologie. Esprit pratique et rationnel, il fut le maître qu'il me fallait . Précurseur, il nous fit donner des cours de bio électricité par des spécialistes .

J'avais maintenant assez de matière pour communiquer et publiais un ouvrage intitulé : "Le Souffle du Menhir"chez Dervy

Le livre à peine sorti, je reçu une lettre de Jean Uguen m'informant qu'il connaissait bien les menhirs et qu'il s'était spécialisé dans les émissions de forme. Deux jours plus tard, j'étais chez lui, du côté des monts d'Arrée.

Curieux, enthousiaste et l'esprit vif, il donnait sans compter. Jean voyait le monde, le traduisait, en émission de formes. Bientôt le Vert négatif Electrique ou le Blanc Magnétique firent partie de mon vocabulaire courant.

Jean me présenta un jour à Paul Plantec, son fabriquant de pendules. Cette rencontre inaugura une fructueuse collaboration. En comparant les performances de différents pendules égyptiens (voir mon ouvrage "Dynamisez la Vie !") Nous avons fait bouger les choses. Plus tard, en imaginant un chapeau dévissant, nous introduisîmes dans le corps des pendules différentes matières énergétiques. Il devenait possible d'adapter le plus précisément possible les performances d'un pendule de charge en fonction de son utilisateur.

Ma vie s'organisait entre la photographie, et la géobiologie, de plus en plus prenante.
Entre temps, j'avais publié un autre ouvrage chez Dervy. Intitulé,"Le Sel de la Vie", il montrait qu'un système mégalithique est organisé. Les lignes de forcé générées par les différents émetteurs (mégalithes, croix, chapelles , églises etc.) étant judicieusement placées pour dynamiser une région en général, et dans le cas présent, un produit bien particulier : le sel. Aujourd'hui, la renommée du sel de Guérande dépasse nos frontières.

Je venais de publier un troisième ouvrage intitulé "Dynamisez la Vie !" chez Médicis.
J'y faisais le point sur ce que j'avais appris sur les techniques de radiesthésie et le mode fascinant des formes. Ce livre fut suivi par un ouvrage spécifique pour la Pologne.
Nous rencontrâmes un jour Georges Prat. Il avait aimé "Le Souffle du Menhir" et il me proposa de collaborer à son prochain ouvrage.
Georges fut le premier à comprendre la relation entre les réseaux géomagnétiques et les métaux contenus dans le magma terrestre. Nous connaissions tous les deux les bienfaits qu'apporte un mégalithe à son environnement.

J'avais montré dans "Le Sel de la Vie" qu'il s'agissait d'une organisation régionale. Prat démontra que les grands monuments sont reliés entre eux à l'échelon planétaire.

Ces personnes furent-elles des maîtres ou des amis ? Les deux, sans doute, mais je pense que ces rencontres ne doivent rien au hasard. Enrichi par les conseils de mes prédécesseurs et me servant des connaissances apprises des menhirs, j'utilise désormais une méthode d'harmonisation aussi efficace que pérenne.

J'avais participé à un ouvrage collectif intitulé "La Géobiologie et vous", édité chez Mosaïque. Ma chronique attira l'attention d'un personnage hors du commun. Il me donna la possibilité de pratiquer à grande échelle (70 supermarchés, des usines, etc ) ainsi que les moyens d'en contrôler les effets à long terme.

En 2010 je publiais, chez Dervy "Le Souffle de la Terre" qui me permis de faire le point sur dix années d'études, enrichie par la fréquentation des grands centres énergétiques anglais : Stonehenge, Avebury, les crops circles etc.

L'aventure continue …

Avec le recul, je peux mettre en avance quelques points forts :

  • - Une bonne expérience de cas variés et difficiles : maisons, usines, élevages, commerces, supermarchés …
  • - Les élèves formés à ces méthodes pendant mes stages obtiennent des résultats similaires.
  • - Une bonne connaissance des pollutions potentielles me permet de proposer des solutions efficaces et pérennes.

Pour en savoir d'avantage, lire le dossier : mes prestations